Revue de presse (extrait)

Alors que le quotidien Britannique The Guardian publie aujourd’hui un article qui rappelle le poids des mots de Bérurier Noir dans la lutte contre l’extrême-droite, FanXoa publie ce jour avec Maddsax un 45 tours de son groupe No Suicide Act. Quel Temps fait-il ? titre de circonstances

28 juin 2024 – Emission Et je remets le son – Matthieu Conquet – France Inter

 

Copiloté par FanXoa, ex-chanteur de Bérurier Noir toujours aussi frondeur, et Madsaxx, fiévreux saxophoniste anticonformiste, ce tout nouveau projet – oscillant entre free-jazz, post-punk et chanson furieuse – se confronte intensément avec le temps présent.

19 juin 2024 par Jérôme Provençal – Les Inrockuptibles 

 

Habituée  à des créations multidisciplinaires et de la scène, Samira Negrouche accueillera, lors d’une carte blanche à l’Institut français d’Algérie, deux artistes qu’elle a souhaité réunir pour une performance spécialement créée pour sa tournée algérienne. « Sa poésie tantôt narrative ou lyrique, parfois expérimentale, se porte à la scène et dialogue en toute fluidité avec le saxophone et les créations sonores de Lionel Martin, oiseau de feu qui sait moduler sa puissance pour être au service du trio. » 

05 décembre 2023 – El Watan

 

Kemekem, un disque bouillonnant d’énergie, à la croisée de la tradition azmari, de l’éthiojazz, du rock progressif et du punk. Un style qu’ils [Ukandanz] nomment « éthiopian crunch » et qui nous transporte au gré des sept morceaux de la danse – comme leur nom y invite – à la transe.

22 février 2023 – « Made in France » : la sélection musicale du « Monde Afrique » #139 – Par Fabien Mollon – Le Monde 

 

 

Damien Cluzel passe de la guitare à la basse sans rien perdre de son électricité, et s’ouvre ainsi un tout nouveau champ des possibles en terme d’écriture. Le complice de toujours Lionel Martin souffle le chaud et le froid avec une empreinte sonore qui irradie jusqu’aux silences qui l’accompagne.

16 juin 2022 – Ukandanz – Four Against the Odds dans Jazz Trotter sur France Musique 

 

 

Disque de labeur et de sueur, Solo n’en distille pas moins une forme latente de joie, portée par une soif de vie qui suinte par le moindre de ses pores. On peut assurément qualifier sa musique de charnelle et dire que ses accents sériels ont quelque chose d’envoûtant par le mystère qu’ils transportent.

Denis Desassis – 1er mai 2022 – Citizen Jazz Solo figure parmi les Elus Citizen Jazz 2022

 

Lionel Martin tient le cap dans son exploration des sons et particulièrement de ceux des hommes au travail pour ce Solo, dont le singulier est loin d’être un hasard. […] Lionel Martin fait une nouvelle fois feu de tout bois pour faire décoller cet objet musical insensé et échevelés un objet rempli d’échos de nos vies et qui parlera étonnamment à tous ceux qui voudront bien l’écouter
Bruno Guermonprez – Chronique de SOLO –  Jazz News Magazine – Décembre 2021

 

Mediapart

Le rythme des machines tient du Ballet mécanique de George Antheil et du Pacific 231 d’Arthur Honegger poussant son anche aérienne vers des incantations rappelant Pharoah Sanders. […] Le saxophoniste joue sur tous les tableaux, accumulant soprano, alto, ténor, baryton, souvent en direct, parfois en rerecording.
Jean-Jacques Birgé – Le Club de Médiapart – 1er octobre 2021

 

« Lyrisme débridé, réitérations hypnotiques, angles divers et saillants (aux confins du free, du rock, du field recording, de l’approche sérielle et de l’électronique) : tout emporte et finit par fasciner. Et à force de chercher ses mots pour évoquer l’impression laissée, on se dit que Lionel Martin touche du doigt le coeur même de toute démarche musicale, dans sa recherche de l’inouï et de l’impensé. Impressionnant. »
Bruno Guermonprez – Chronique de SOLOS –  Jazz News Magazine – Avril 2021

 

Depuis toujours il joue dans la rue pour se confronter à l’inattendu. Son nouvel opus enregistré en extérieur et construit sous la forme d’une bande-son, est l’aboutissement de sa quête perpétuelle de sens, bousculée par l’exigence de Bertrand Larrieu à la prise de son et à la direction artistique. Une musique du surgissement, brute, organique, hypnotique, qui joue la vérité de l’instant, son ambiguïté, la confrontation avec le regard et l’écoute de l’autre et captée sous une éolienne, dans un métro, dans la Loire, en studio, dans son grenier…
https://www.fip.fr/jazz/solos-le-nouveau-souffle-de-liberte-de-lionel-martin-18416

 

 

On ne s’étonnera donc guère que la pochette de ce vinyle 5 titres fût signée Robert Combas, l’artiste au monde chatoyant derrière l’esthétique du Rhino Jazz qui a fait de Martin son rhino à corne sonore en zoomant sur l’affiche de la dernière édition du festival auquel les deux ont partagé un genre d’atelier au long cours. Singulier animal que ce Martin-là qui sans ménager sa monture, c’est-à-dire lui-même, vous fera voyager loin, très loin. Après un bon quart de l’année sans sortir on composte son billet les yeux fermés.

http://www.petit-bulletin.fr/lyon/musique-soirees-article-68550-Lionel+Martin+++rhino+feroce.html

Vous le croisez dans la rue, devant l’Opéra de Lyon ou encore sur la passerelle du Palais de Justice, sax en bouche et pédales d’effets voisinant avec le sac de vinyles ou encore, dans une salle de concert style Périscope , vous l’avez vu gesticuler aux Nuits de Fourvière, en ouverture d’Iggy Pop, pour un concert resté mémorable car un poil bruitiste. Vous l’avez sinon peut-être vu en squatt, à La défunte Miroiterie à Paris… » « Lui, c’est Lionel Martin, musicien protéïforme prêt à toutes les expériences et avide d’explorations, revisitant le répertoire du créateur de la sono mondiale, Louis Moreau Gottschalk, ou encore Count Basie en compagnie du sus-mentionné Everett (ah oui, on vous a pas dit, l’intéressé est aussi à la tête de Ukandanz combo éthio-punk qui fait frémir les ouïes pas trop tatillones sur le dogme) et de Bunktilt qui s’est fait remarqué avec Steve Mackay des Stooges.

http://www.petit-bulletin.fr/lyon/musique-soirees-article-66204-Lionel+Martin++un+souffle+continu.html

 

 

Intitulé Solos, son nouvel opus vient de sortir sur son label Ouch! Le multi-saxophoniste nous y livre cinq titres qui lui ressemblent en bon amateur de sonorités irradiantes qu’il est. Le titrage des pistes ressemble au chapitrage d’un recueil poétique crépusculaire. S’il pourrait sembler bien sombre de prime abord, il sonne en réalité comme une ode à la résistance, aux libertés que l’on s’octroie tant bien que mal, dans la force ou plus vraisemblablement dans l’insouciance. Composé avec le bricoleur et capteur de son Bertrand Larrieu, l’album vaut aussi le déplacement pour sa splendide cover signée par le peintre Robert Combas.

https://www.le-grigri.com/blog/2020/12/17/traque-de-track-30-fiction-lionel-martin-solos-ouch-records

 

 

Jazz à Babord

Les Solos de Martin s’inscrivent dans une esthétique expérimentale et les timbres, rythmes et textures apportent la touche de sensualité qui les rend enthousiasmants.

http://jazz-a-babord.blogspot.com/2020/09/solos-lionel-martin.html

 

 

Entre flux aériens et vibrations telluriques, les improvisations de Lionel Martin s’abreuvent aux sources de la liberté et s’alimentent d’une quête intérieure exigeante. On voyage dans l’univers imaginaire du saxophoniste. Bien loin des chemins de la perfection, son monde empreint de spontanéité et de sincérité est éclairé par le doute et la recherche incessante de l’Ailleurs et de l’Autre.

https://www.latins-de-jazz.com/solos-de-lionel-martin/

 

 

Solos est un disque passionnant de bout en bout, qui tire un grand trait d’union entre des expériences sérielles comme celle d’Urban Sax, la musique itérative de Philip Glass ou des évocations / scansions dans lesquelles on pourrait percevoir l’écho tutélaire de John Coltrane

https://www.citizenjazz.com/Lionel-Martin-3478767.html

C’est plus brutal, plus sauvage, plus irascible en quelque sorte. On retrouve la patte punk-rock de Lionel Martin et Palm Unit arrive à garder le cachet mélodique de la musique de Texier tout en lui donnant beaucoup d’agressivité. Il ne s’agit ni d’une imitation, ni d’une transgression et la réussite de l’hommage réside précisément ici : un juste équilibre entre la restitution du suc de la musique de Texier tout en restant Palm Unit.

https://www.citizenjazz.com/Palm-Unit-3477564.html

La rencontre de deux personnalités passionnées comme Lionel Martin et Sangoma Everett était écrite, nécessaire même. Et c’est à partir d’une musique qui les a traversés, nourris, celle de Count Basie sur l’album « Afrique », qu’ils ont choisi d’embarquer ensemble le temps d’un album solaire.

https://www.citizenjazz.com/Lionel-Martin-Sangoma-Everett.html

 

 

Ce que confirment les premiers concerts à Addis-Abeba dès 2010, notamment au club Fendika. Ambiance torride, public en transe. «Si on a tordu leur musique, il n’en demeure pas moins les paramètres fondamentaux. Ils s’y retrouvent, même s’ils découvrent quatre Blancs jouer leur musique comme jamais ils n’ont pu l’entendre», insiste le saxophoniste Lionel Martin

https://web.archive.org/web/20181126011137/https://next.liberation.fr/musique/2018/11/25/asnaqe-guebreyes-l-as-d-addis_1694189

 

 

 

Le pianiste bulgare Mario Stantchev et le saxophoniste lyonnais Lionel Martin créent l’événement avec une idée lumineuse : une relecture du répertoire du pianiste et compositeur Louis Moreau Gottschalk, né à La Nouvelle-Orléans en 1829 et sans doute le premier musicien formé dans la tradition européenne à s’être inspiré de la musique du sud des Etats-Unis et des Caraïbes, donnant naissance à une forme de jazz d’avant-l’heure.

https://sortir.telerama.fr/concerts/mario-stantchev-lionel-martin,n5725512.php?ccr=oui

 

Bien des moments de grâce dans ce concert, par exemple quand le saxophoniste, au ténor, tourne autour du piano en jouant des sons très dynamiques, tandis que le pianiste, en appuyant la pédale forte de l’instrument (bien harmonisé et de très belle qualité) offre une réverbération harmonique très riche ; puis le jeu se poursuit avec le soprano près des cordes, avant de repartir dans des improvisations libres et colorées, lesquelles nous offrent d’autres bonheurs, furtifs ou persistants. Et la fin du concert nous trouve comme des enfants émerveillés, qui auraient assisté à la métamorphose d’une citrouille en carrosse, ou l’inverse : quelle importance !

https://www.jazzmagazine.com/jazzlive/djazz-nevers-6-lionel-martin-mario-stantchev-bandes-originales-bugge-wesseltoft-francois-couturier-tarkovsky-quartet/